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Restauration écologique du Marais de Contes

Cadeau du week-end, une photo prise cette semaine au petit matin sur le site de restauration du Marais de Contes d’où vous apercevez d’ores et déjà l’aménagement en pente douce.

Marais de ContesLe Pas-de-Calais nous offre une grande richesse de paysages que nous devons prendre le temps d’observer…

Pour connaître l’ensemble des travaux réalisés sur le Marais de Contes, cliquez-ici.

Création d’une frayère à Brochet à Saint Omer

Suite à la sollicitation de l’AAPPMA « La Concorde », la Fédération de Pêche du Pas-de-Calais a procédé à l’aménagement d’une frayère à brochets sur un plan d’eau privé situé sur la commune de Saint-Omer au lieu-dit « le Tourniquet ». L’objectif est d’optimiser la capacité de production et d’accueil de cette espèce au sein du marais audomarois.
Les travaux
Le projet d’aménagement d’une surface favorable à la reproduction de l’espèce repère brochet sur un plan d’eau connecté au réseau hydrographique du marais, permet d’optimiser les fonctionnalités biologiques en augmentant les capacités d’accueil et de production du site. Cet aménagement participera en outre, à créer des habitats, des caches fonctionnelles pour les espèces d’accompagnements.
Il s’agit de créer une frayère de pleine « eau » de 1274 m². Cette zone augmentera sensiblement la capacité d’accueil et de production pour les peuplements piscicoles en place et plus particulièrement pour le brochet, espèce repère du contexte. Pour cela, la Fédération va créer une pente douce des berges sur près de 496m2 Cette action augmente la surface de contact berge/eau et permet l’implantation d’une végétation aquatique immergée et semi-immergée propice à la reproduction des poissons. De même, elle va procéder au décaissement des berges Nord et Sud en queue d’étang, de manière à recréer une profondeur uniforme et favorable à l’apparition d’une végétation hélophytique adaptée. La terre décaissée servira à créer les pentes douces. La végétation hélophytique locale existante en haut de berge sera récupérée et repiquée sur les zones terrassées afin de favoriser une reprise végétale rapide des aménagements.
En outre l’aménagement proposé stabilisera les berges et rétablira l’interface terre/eau qui garantira une bonne fonctionnalité biologique de l’étang.
Dans le but d’évaluer le gain écologique de la frayère, un suivi du projet sur 4 ans est indispensable. Pour ce faire, trois sessions de suivis seront planifiées sur cette période. Elles permettront d’évaluer la pertinence des travaux mis en oeuvre avec un état initial (avant travaux) en comparaison avec un état final. Le projet est financé à hauteur de 50% par la Région Nord-Pas-de-Calais et à 50% par l’Agence de l’Eau Artois Picardie.

A cette occasion, l’équipe du journal télévisé de France 3 est venue sur place réaliser un reportage, visionnez-le ci-dessous :

Restauration écologique du Ruisseau des Sources

Evitez la mésaventure du PV !

Ce n’est pas la première fois que l’on me fait remonter cette information. Entre pêche fédérale et pêche communale, il y a bien plus qu’un pas : il y a une carte de pêche !

En effet, les étangs de pêche communaux répondent à un règlement spécifique rédigé par la commune qui gère le droit de pêche et indépendant des fédérations de pêche. Moyennant un droit d’entrée sur place, vous pouvez ainsi pêcher en toute tranquillité le temps d’une journée sur ces sites.

Les fédérations de pêche propose le même service comme vous le savez sur ses linéaires grâce à la vente d’une carte de pêche à la journée. Avec cette carte de pêche journalière, vous pouvez pratiquer ou vous initier quand vous le souhaitez à la pêche sur l’ensemble du domaine public et les parcours fédéraux.

Mais attention, pour être en règle et évitez tous désagréments, vous devez être en possession de cette carte avant même de poser vos cannes à pêche ! Eh oui, contrairement à des idées reçues, les gardes pêche ne sont pas habilités à vous vendre des cartes. Les cartes sont à récupérer chez des dépositaires dont vous retrouverez la liste sur www.peche62.fr . Vous avez également la possibilité d’acheter la carte en ligne sur http://www.cartedepeche.fr/

En cas de non port de cette carte, les gardes pêche seront dans l’obligation de vous dresser un procès verbal. Faites tourner l’info !

Les sciences participatives ou la science au bout de la ligne !

Vous avez vaguement entendu parlé des sciences participatives sans vraiment savoir ce que (se) cache cette expression aux allures sociologiques. Et si on vous disait que grâce à la science participative, c’est nous, pêcheur de tous les jours qui devenons les scientifiques, vous me croyez ? Vous auriez tort de dire non car nous tenons un rôle clé dans l’avancée de la connaissance de la dynamique des populations piscicoles de nos cours d’eau !

Plus précisément, les  programmes de sciences participatives sont des programmes conduits en partenariat entre des observateurs (les pêcheurs) et la Fédération du Pas-de-Calais pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique dans un but scientifique visant à observer ou étudier un phénomène dans le cadre d’un protocole bien défini. Vous êtes ainsi mis à contribution pour collecter un grand nombre de données difficiles à obtenir par d’autres moyens. En contrepartie de votre implication, nous vous accompagnerons dans vos interrogations et communiquerons les résultats obtenus grâce à votre aide.

Actuellement, en fonction de votre pratique du loisir pêche, il est possible de participer à deux projets de sciences participatives avec la Fédération :
– la connaissance de la dynamique desTruites de Mer et Saumons Atlantique par le biais de la SalmoBox pour les pêcheurs de grands migrateurs
– la connaissance de la dynamique de la population d’anguilles dans le cadre du Plan Gestion Anguille en France (2010) qui concerne toutes les techniques.  La Fédération invite donc l’ensemble des pêcheurs du département à participer à cette démarche.

La Salmo-Box
Dans le cadre des sciences participatives, la Région Nord-Pas-de-Calais et la Fédération Départementale du Pas-de-Calais pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique s’intéressent à toutes informations (concernant les Grands Salmonidés et les autres poissons migrateurs) pouvant être fournies par les pêcheurs. Afin d’évaluer au mieux l’état de la population des Truites de mer et des Saumons atlantique sur les  7 cours d’eau côtiers du département (Authie….), chaque pêcheur volontaire peut contribuer à la connaissance des espèces patrimoniales ayant un grand intérêt halieutique. Il s’agit de relever un certain nombre de données : taille, poids, prélèvements d’écailles, autres… grâce à un outil de la science participative mis au point par la Fédération : la Salmo-Box. Pour obtenir la Salmo-Box, merci de contacter le technicien en charge de l’animation de cette opération sur l’Authie et la Canche au : 06.01.01.21.75.

L’enquête Anguille volontaire
L’anguille est une espèce  « En danger critique d’extinction » au niveau mondial et en France. En septembre 2007, un règlement européen (CE n°1100/2007) a été créé. Il vise à diminuer les pressions pesant sur l’espèce pour qu’il y ait un échappement d’au moins 40% du stock originel vers la mer pour sa reproduction. Ce règlement oblige les états membres à l’élaboration d’un Plan de Gestion Anguille national (approuvé par la commission européenne le 15 février 2010) lui-même décliné en Plan de Gestion par bassin hydrographique (Artois Picardie en ce qui nous concerne). Pour une meilleure connaissance de la population, la FDAAPPMA62 a mis en place ce questionnaire volontaire pour tous les pêcheurs (même ceux qui ne pêchent pas l’anguille) afin de récolter des informations sur la dynamique des populations d’anguilles dans nos cours d’eau. Un questionnaire simple et rapide pour nous aider à avancer  est accessible en cliquant ici.

Alors prêt à agir concrètement pour la préservation des poissons et des rivières du Pas-de-Calais ? Merci d’avance !

Différencier une truite de mer d’un saumon atlantique

L’erreur est humaine, mais ne pas la corriger serait un sacrilège ! Voici un petit document afin de vous aider à différencier la Truite de Mer d’un Saumon Atlantique. Et si vous avez un doute, vous pouvez toujours poster vos photos sur notre facebook.

Apprendre à différencier une truite d'un saumon atlantique en image !

Apprendre à différencier une truite d’un saumon atlantique en image !

Nos gardes pêche fédéraux font le show !

Plus convaincant qu’un long discours, visionnez cette courte vidéo de présentation de nos gardes pêche fédéraux ! Suivez-les sur une journée de garderie à pied…

 

A venir pour la saison prochaine de nouvelles vidéos de garderie pourquoi pas embarquée cette fois 😉

Une journée avec le pôle connaissance

Le rendez-vous est fixé à 7h30 dans les locaux de la fédération à Béthune pour un départ en covoiturage. L’équipe est matinale mais de la route les attend. Le programme est bien chargé. Mais où vont-ils et que vont-ils faire ?…

Direction les cours d’eau du Pas-de-Calais pour une pêche électrique ! Mais Késako ?

P1010143Cette pêche consiste à faire circuler dans le cours d’eau un courant électrique de faible intensité. A l’aide d’un manche terminé par un anneau (l’anode), l’opérateur va prospecter le milieu. Les poissons situés à proximité du champ électrique seront dans un premier temps attirés vers l’anode (processus de nage forcée), ce qui permet leur capture à l’aide d’épuisettes pour ensuite les relâcher dans de bonnes conditions dans le milieu. L’opération est sérieuse et demande des règles de sécurité strictes : combinaison en néoprène, gants de sécurité, lunettes polarisantes, casquette…

Plusieurs stations sont programmées dans la journée. Aujourd’hui pas de pêche embarquée (à bateau), uniquement des pêches à pieds à 30 points, 4 stations exactement. Traduction : ce seront 4 petits cours d’eau qui seront étudiés dans la journée. Les points qui alternent la rive droite, la rive gauche et le chenal sont choisis le long du cours d’eau en fonction de leur capacité à accueillir des poissons : habitats, courants… Pour mener à bience type de pêche qui était ciblée spécifiquement sur l’anguille, il est nécessaire de compter 5 personnes. La répartition se fait ainsi : une personne à la prise de note, une personne qui manipule l’anode, deux personnes avec une épuisette et une personne qui réceptionne et porte les spécimens. L’équipe comptait 4 salariés (Benoît, Frédéric, Dominique et Géraldine) et un bénévole (Jean-Gérard) qu’elle remercie d’ailleurs pour son investissement et sa motivation. A chaque station, les postes peuvent être inversés afin de garantir la polyvalence de l’équipe. Le travail demande de la concentration, de la réactivité et de l’endurance physique pour ne manquer aucune anguille qui profite de la moindre occasion pour dévaler et échapper à notre épuisette ! Il faut dire que ces demoiselles n’apprécient guère la lumière. De plus la météo jouait contre nous. Le temps pluvieux du week-end a rendu l’eau très turbide nous forçant même à annuler une station.

Une fois les 30 points terminés, nous remontons en berge pour réaliser la biométrie des anguilles. Une fois de plus je vois l’interrogation derrière votre écran.

Derrière ce mot aux allures barbares se cachent les mesures de taille et de poids de l’animal mais pas seulement. Dès que l’anguille dépasse les 24cm, il est nécessaire de réaliser une mesure verticale et horizontale de son son œil ainsi qu’une mesure de la longueur de sa nageoire pectorale. Ces éléments nous permettent de savoir à quel stade de leur cycle biologique les anguilles en sont et surtout de savoir si elles sont sur le point de dévaler pour retourner en mer se reproduire.

Ces études interviennent dans le cadre  du règlement européen (CE n°1100/2007) décliné dans un plan de gestion national pour reconstituer les stocks d’anguilles européennes. A ce titre, il est judicieux de rappeler que tout pêcheur en eau douce, professionnel ou de loisir, doit enregistrer ses prises d’anguilles dans un carnet de capture, dont il doit être en possession lors de toute activité de pêche. A noter qu’actuellement, la pêche à l’anguille est fermée. Ce sera donc une petite piqûre de rappel pour la saison prochaine.

Après de belles prises et des photos pour immortaliser cette espèce patrimoniale, il est temps de les remettre à l’eau et pour l’équipe de reprendre la route… Ainsi s’achève la journée souvent riche en rebondissements : aléas météos, aléas de l’espèce piscicole qui accepte plus ou moins d’être manipulée et aléas du matériel qui peut être parfois capricieux…

 

Une journée événementielle avec l’équipe fédérale

Aujourd’hui suivons : Matthieu, Benoît R., Dominique, Yann et Géraldine sur un événementiel bien connu dans le Pas-de-Calais : la Fête du Parc ! Cette dernière s’est déroulée dimanche 8 septembre 2013 au jardin public de Saint-Omer.

Arrivée dès 7h00 sur le site pour une partie de l’équipe rejointe rapidement par les retardataires afin de monter le stand. Depuis quelques semaines, l’habillage du stand fédéral s’est métamorphosé afin de vous présenter au mieux l’ensemble des activités de la Fédération : jupes de table sur la connaissance des espèces piscicoles, roll up de présentation de l’ensemble des pôles (connaissance, halieutique, restauration écologique, sensibilisation et réglementation…), bâches, tapis de lancer, simulateur de pêche, figurines en résine… Une diversité de matériels complémentaires afin de sensibiliser le grand public au milieu aquatique de manière ludique…

L’installation est longue mais rodée, le tout afin d’optimiser la mise à disposition de l’information. Pendant que certains s’attèlent à la partie technique du montage, les autres disposent les affichages, flyers et la finition. Après près de 3 heures de montage, le stand est fin prêt pour accueillir les premiers visiteurs. Coloré, visuel et également tactile, il a de quoi charmer les petits comme les grands. D’ailleurs, très vite, ses premiers attraits se font ressentir. Les tapis de lancer sont pris d’assaut par les enfants qui souhaitent s’initier au lancer. Les familles sont intriguées par nos représentations en résine de la tanche, du brochet, de la carpe, de l’anguille et de la perche (qui seront très vite complétées par d’autres espèces). Curieuses de connaître ces poissons qui peuplent nos cours d’eau, nos sujets de conversation s’orientent également vers les études de radiopistage et de suivi des grands salmonidés ! Ca tombe bien, sur le site, le pôle connaissance a mis en place un petit jeu pour initier les apprentis scientifiques. Une peluche avec un émetteur est cachée dans le parc et avec du matériel de professionnel, le public est invité à chercher avec un membre de l’équipe la peluche. Anneau pour réceptionner le signal émis par l’émetteur à la main, la quête du poisson peut commencer. Mais « pourquoi suivre les poissons ? » me demande innocemment une petite fille qui cherche à comprendre le travail du pôle connaissance. La question a toute son importance : suivre les poissons nous permet de savoir quel chemin ils empruntent afin de comprendre quels obstacles ils rencontrent et si besoin savoir où la Fédération et ses partenaires doivent intervenir pour restaurer les sites et faciliter le passage. La future génération est sensibilisée à notre plus grand plaisir.

L’équipe est polyvalente, aussi bien, vous avez pu retrouver l’ensemble des membres sur chaque animation. Les relais de postes se sont succédés sur la journée même si chacun à son domaine de prédilection. Vous avez pu rencontrer généralement : Benoît, Matthieu, Dominique et Yann sur l’initiation au lancer, Géraldine, Benoît et Matthieu sur l’explication des espèces piscicoles, Matthieu, Dominique et Géraldine sur des questions générales du loisir pêche, Yann sur le jeu de radiopistage…

L’équipe est rejointe tout au long de la journée par des administrateurs de la Fédération. Vous avez peut-être eu l’opportunité d’avoir un enseignement sur les espèces piscicoles par le Président Pascal Sailliot ?

La journée est mouvementée. Le public est au rendez-vous et l’équipe motivée. Pas une minute à perdre, une petite pause déjeuner vers 13h entre deux renseignements et les activités  »manuelles » reprennent bon train. Les heures s’enchaînent et l’enthousiasme du public ne s’affaiblit pas. La journée aura été enrichissante pour le public comme pour l’équipe qui apprécie d’aller à la rencontre de passionnés tout comme des novices curieux de connaître  notre patrimoine piscicole… Peut-être auront-ils suscité de nouvelles recrues de la pêche de loisir et de la protection du milieu aquatique ?

19h00, la fête ferme ses portes. Il est temps de démonter le stand et de charger les véhicules car ensuite un peu de route les attend. Prochaine sortie du matériel : mercredi 11 septembre pour une journée de cohésion avec l’équipe de salariés et les administrateurs.
 

 

Focus on : le parcours fédéral à la mouche sur la Créquoise à Offin

Offin2Un pêcheur nous confie son avis sur le parcours de pêche à la mouche sur la Créquoise à Offin. Nous le remercions pour cette initiative. N’hésitez pas à nous faire parvenir les vôtres sur les spots du Pas-de-Calais, nous les publierons 😉 ()

Petit conseil d’accès : Je recommande d’accéder au parcours plutôt par la rue de l’Eglise. Le stationnement est possible près du banc, en face de la « passe pêcheur » au dessus de la clôture.  L’accès est ainsi plus direct à l’aval du parcours et évite le passage des clôtures barbelées sur l’accès par le centre bourg. Il offre par ailleurs un site idéal pour le pique-nique du midi. A priori, le restaurant à Beaurainville est d’un très bon rapport qualité / prix, pour ceux qui veulent concilier gastronomie et pêche.

Le parcours de pêche : Accès et pêche faciles. Les postes sont marqués, avec  de nombreux radiers et beaucoup de poissons sur les plats courants et dans les virages. Les fosses sont à prospecter en nymphe. Un joli remous est à observer dans le méandre près du « pont ».

Les truites du parcours :  Je définirai le parcours «  jeune ». Les truites ne sont pas encore éduquées et  remontent sur la mouche après un raté (sauf si elles ont senti le fer). Plusieurs poissons sur un même poste, pas effarouchés après une première capture. Les poissons sont sauvages, d’une robe magnifique et d’une taille de 15 – 20 cm en moyenne (hélas pas davantage). Sur la quinzaine de poissons pêchés, 2 robes ont été observées : en majorité une robe « de rivière » et     quelques individus plus argentés et beaucoup plus gras (sur la Course, c’est plutôt cette morphométrie qui est dominante).

Les mouches du parcours : J’en ai testé 3. 2 se sont révélées plus efficaces : la Sèche : sedge chevreuil, corps en palmer et la Nymphe : imitation de mouche de mai corps blanc, thorax en oreille de lièvre, sac alaire en faisan.

Impressions sur le parcours : Parcours très agréable à pêcher, rivière magnifique, idéale pour la pêche à la mouche, à recommander aux débutants ! La pêche dans l’eau est recommandée aussi, pour éviter le dragage et les contre-courants. Les habitats sont favorables aux truitelles qui constituent l’essentiel des captures.  La pêche patrimoniale sans ardillon est indispensable pour ne pas couper le blé en herbe. Les « grosses » n’étaient pas au rendez-vous. Peut-être est-ce lié aux pêcheurs et aux conditions de pêche ou à un profil de rivière « pépinière » pour salmonidés migrateurs ou encore si précédemment selon l’historique du parcours, les plus beaux poissons ont fini à la poêle…

Morphologie du cours d’eau : Cours d’eau qui transporte, espace de liberté préservé, méandres remarquables. Très peu colmaté, ce qui est rare. Cailloux mobiles.

Nous remercions ce pêcheur pour cet avis et espérons qu’il aura su vous séduire et vous donner l’envie d’aller pêcher sur ce parcours. Si tel est le cas, rdv sur  http://www.peche62.fr/Parcours-federal-de-peche-a-la.html afin de connaître les modalités de pêche sur ce parcours !

Pour nous soumettre vos avis, lieux de pêche favoris, n’hésitez pas à nous envoyer un e-mail à